Compte-rendu de la réunion d'information du 9 mars 2023 à Binic
09 mars 2023
Ma réunion publique organisée à destination des adhérents des Côtes d’Armor et du Morbihan mais aussi pour toutes les personnes atteintes du syndrome des jambes sans repos s’est déroulée avec succès puisque plus de 230 personnes sont venues parfois de quelques centaines de kms. Nous avons entendu des témoignages poignants de personnes laissées sans solution par leur médecin qui ne juge même pas opportun de conseiller de consulter un spécialiste.
D’autres témoignages également sont venus corroborer le fait que dans cette région de Bretagne le service rendu par le médecin, même neurologue, n’est pas à la hauteur pour cette pathologie. Un constat flagrant de traitements délivrés par des neurologues qui ne semblent pas prendre en considération le risque d’augmentation des symptômes par des dosages trop élevés de dopaminergiques. Une vraie détresse s’est manifestée dans toutes les tranches d’âges montrant un risque élevé de gestes définitifs.
Le Dr Véronique Mounayar s’est montrée très à l’écoute sans pouvoir, c’était flagrant, se substituer au médecin du malade notamment pour un cas très sévère, étant donné que cette personne est suivie par ailleurs par un professeur sûrement compétent pour son autre pathologie mais par certains côtés ignorant des dosages à respecter en matière de traitement pour le syndrome des jambes sans repos.
Les malades ne s’y sont pas trompés car, même si elle prend garde de ne pas orienter vers elle la patientèle, ils sont partis avec un espoir d’être suivis plus efficacement. Malheureusement ce type d’événement a encore de beaux jours devant lui.
D’autres témoignages également sont venus corroborer le fait que dans cette région de Bretagne le service rendu par le médecin, même neurologue, n’est pas à la hauteur pour cette pathologie. Un constat flagrant de traitements délivrés par des neurologues qui ne semblent pas prendre en considération le risque d’augmentation des symptômes par des dosages trop élevés de dopaminergiques. Une vraie détresse s’est manifestée dans toutes les tranches d’âges montrant un risque élevé de gestes définitifs.
Le Dr Véronique Mounayar s’est montrée très à l’écoute sans pouvoir, c’était flagrant, se substituer au médecin du malade notamment pour un cas très sévère, étant donné que cette personne est suivie par ailleurs par un professeur sûrement compétent pour son autre pathologie mais par certains côtés ignorant des dosages à respecter en matière de traitement pour le syndrome des jambes sans repos.
Les malades ne s’y sont pas trompés car, même si elle prend garde de ne pas orienter vers elle la patientèle, ils sont partis avec un espoir d’être suivis plus efficacement. Malheureusement ce type d’événement a encore de beaux jours devant lui.